Une enquête est en cours sur l’exploitation des données téléphoniques afin de lever le voile sur cette affaire. La procureure de Dunkerque, Charlotte Huet, a laissé entendre qu’il s’agit potentiellement d’un *”meurtre aggravé par la circonstance de guet-apens”*. Un jeune de 15 ans, ayant déjà des antécédents judiciaires, nie avoir porté des coups. Il affirme avec un complice avoir utilisé du gaz lacrymogène avant l’agression, s’assurant de la présence de la victime grâce à la sonnerie de son téléphone.
Les proches de la victime dénoncent l’attaque et organisent une marche en sa mémoire. Des rumeurs infondées circulent sur les réseaux sociaux, selon la cousine de la victime. Un ami proche de la famille rapporte que la victime a croisé ses agresseurs par hasard. La famille aurait été contactée par une personne présente au moment des faits.
Les autorités ont découvert la victime gisant sur le parking, avec des blessures sévères, après avoir été alertées par les pompiers. Après avoir été hospitalisé, le jeune homme est décédé des suites de ses blessures. Une marche en hommage à la victime a eu lieu en silence devant le lieu de l’agression, où des fleurs ont été déposées. Le maire de la ville, Martial Beyaert, exprime sa consternation face à cette tragédie.